Ressources complémentaires sur la musique sacrée et le chant liturgique

Des articles généraux d'origines diverses sur la musique en général et la musique liturgique en particulier.

Les articles sont classés par date de parution.

Thomas de Koninck. « Pourquoi la musique nous affecte-t-elle tant ? » Université Laval.
Isabelle Marchesin. « Cosmologie et musique au Moyen Âge »
Yves Jolly. « Vie liturgique et musique d'église » Études,1963/4 (Tome 317), pages 18 à 40.
Henri-Irénée Marrou, « Une théologie de la musique chez Grégoire de Nysse ? » Publications de l'École Française de Rome Année 1978 35 pp. 365-372.
Bruno Moysan. « Musique, politique et sécularisation » Raisons politiques 2004/2 (no 14), pages 107 à 123.
Isabelle Renaud-Chamska. « Didier Rimaud. Le goût des mots » Études 2005/12, Tome 403, pages 659 à 670.
Pierre Charru, « Un théologien à l'écoute de la musique. (Christoph Theoblad) » Laval théologique et philosophique, Volume 68, Numéro 2, Juin 2012, p. 311–318.
Olivier Quenardel. « Musique et christianisme » Liturgie n° 167, 2014.
Patricia Lebrun. « Le chant de la Création. Hymnodie pour choeur, quintette à vent, harpe, quatuor à cordes et récitant » Liturgie n° 167, 2014.
Éric Bellavance et Vivek Venkatesh, « Dire et/ou maudire Dieu par la musique » Théologiques, Volume 26, Numéro 1, 2018, p. 7–15.

Sacrosanctum Concilium 12

Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

Liturgie et pieux exercices.

SC 12. Cependant, la vie spirituelle n'est pas enfermée dans la participation à la seule liturgie. Car le chrétien est appelé à prier en commun : néanmoins, il doit aussi entrer dans sa chambre pour prier le Père dans le secret, et, même, enseigne l'Apôtre, il doit prier sans relâche. Et l'Apôtre nous enseigne aussi à toujours porter dans notre corps la mortification de Jésus, pour que la vie de Jésus se manifeste, elle aussi, dans notre chair mortelle. C'est pourquoi dans le sacrifice de la messe nous demandons au Seigneur « qu'ayant agréé l'oblation du sacrifice spirituel il fasse pour lui de nous-mêmes une éternelle offrande ».