Frank Martin (1890-1974) — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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Frank Martin (1890-1974)

Frank Martin est un compositeur suisse, né le 15 septembre 1890 à Genève et mort le 21 novembre 1974 à Naarden aux Pays-Bas.
Il est le dixième et dernier enfant de Charles Martin, un pasteur. Avant même de commencer l'école, il jouait déjà du piano et maîtrisait l'improvisation. À 9 ans, il composait des chants complets, sans avoir reçu aucune instruction musicale. Une pièce de Bach, la Passion selon saint Matthieu qu'il entendit à l'âge de 12 ans lui laissa une impression profonde, et Bach devint son vrai mentor.
Ce n'est qu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale qu'il consent enfin à publier de la musique sacrée avec In Terra pax (1944). Et il continuera de cultiver et publier ce style de musique toute sa vie jusqu'au Requiem de 1972.

Messe pour double choeur a cappella

La Messe pour double chœur a cappella est une messe du compositeur suisse Frank Martin composée en 1922 et 1924 et complétée en 1926 par un Agnus Dei. Elle n'est créée que quarante ans plus tard, en 1963 à Hambourg par Franz W. Brunnert, chef de la Bugenhagen-Kantorei de Hambourg, qui remarque et demande la partition au compositeur en 1962, qui accepte son exécution.

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Requiem

Parmi les requiem composés au XXe siècle, on entend surtout ceux de Britten et de Duruflé. On en oublierait presque Hindemith, Ligeti, Kabelevski, Penderecki, Reger, Zeisl, Zimmerman mais, aussi, Frank Martin, compositeur suisse né à Genève en 1890, qui en a pourtant composé un magnifique.

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Et in terra pax (1944)

In terra pax est un oratorio pour cinq solistes et double chœur de Frank Martin composé en 1944. Il repose sur des textes de la Bible adaptés par le compositeur lui-même. Il s'agissait d'une commande de René Dovaz (1897-1988), directeur de la Radio Genève en prévision de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il était prévu que l'oratorio passe à la radio le jour où la guerre prendrait fin.

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  • Sacrosanctum Concilium 124

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    SC 124. Les Ordinaires veilleront à ce que, en promouvant et favorisant un art véritablement sacré, ils aient en vue une noble beauté plutôt que la seule somptuosité. Ce que l'on doit entendre aussi des vêtements et des ornements sacrés.           
    Les évêques veilleront aussi à ce que les œuvres artistiques qui sont inconciliables avec la foi et les mœurs ainsi qu'avec la piété chrétienne, qui blessent le sens vraiment religieux ou par la dépravation des formes ou par l'insuffisance, la médiocrité ou le mensonge de leur art, soient nettement écartées des maisons de Dieu et des autres lieux sacrés. [...]