Psaume 150. « Louez le par l'éclat du cor ! » — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

Aller au contenu. | Aller à la navigation

Outils personnels

Se connecter à l'espace privé
Menu

Psaume 150. « Louez le par l'éclat du cor ! »

Le psaume 150 clôture à la fois le livre des « Louanges » et le cinquième Livre du Psautier. Ouvert et conclu par un Alléluia, « Louez le Seigneur », il appartient à ce genre qui constitue prés d'un tiers du cinquième Livre.

Texte (Traduction officielle liturgique)

Alléluia !
Louez Dieu dans son temple saint,
louez-le au ciel de sa puissance ;

louez-le pour ses actions éclatantes,
louez-le selon sa grandeur !

Louez-le en sonnant du cor,
louez-le sur la harpe et la cithare ;

louez-le par les cordes et les flûtes,
louez-le par la danse et le tambour !

Louez-le par les cymbales sonores,
louez-le par les cymbales triomphantes !

Et que tout être vivant
chante louange au Seigneur !

Alléluia !

Composé en 1883 pour orgue et choeur pour l’inauguration de l’orgue de l’institut national des aveugles. Après une longue introduction à l’orgue qui fait monter la louange, le choeur entre sur des alléluias. Dans un ton solennel, les hommes à l’unisson, donnent la puissance et l’énergie à l’ensemble, pour mener à une fin triomphale.

Texte de la partition

Louez le Dieu, caché dans ses saints tabernacles, louez le Dieu qui règne en son immensité. Louez-le dans sa force et ses puissants miracles. Louez-le dans sa gloire et dans sa majesté. Louez-le par la voix des bruyantes trompettes. […] Que tout souffle vivant, tout soupir qui s’exhale dise : louange à lui, louange au Roi des cieux. […] » Cette ancienne traduction littéraire du dernier des psaumes invite à la louange. Louez-le !

Dans l'interprétation de l'Ensemble vocal Jubilate Deo et de la Maîtrise de Saint-Louis de Versailles (Jean-Claude Soubeyrand) :

 

  • Sacrosanctum Concilium 2

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    La liturgie dans le mystère de l'Église.

    SC 2. En effet, la liturgie, par laquelle, surtout dans le divin sacrifice de l'Eucharistie, « s’exerce l’œuvre de notre rédemption », contribue au plus haut point à ce que les fidèles, par leur vie, expriment et manifestent aux autres le mystère du Christ et la nature authentique de la véritable Église. Car il appartient en propre à celle-ci d'être à la fois humaine et divine, visible et riche de réalités invisibles, fervente dans l'action et occupée à la contemplation, présente dans le monde et pourtant étrangère. Mais de telle sorte qu'en elle ce qui est humain est ordonné et soumis au divin ; ce qui est visible à l'invisible ; ce qui relève de l'action, à la contemplation ; et ce qui est présent, à la cité future que nous recherchons.          
    [...]