Beata es virgo Maria — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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Beata es virgo Maria

Une hymne à la Vierge Marie dont il existe trois versions textuelles, qui, toutes, exaltent la virginité et la maternité de Marie, la Mère du Sauveur.

Il existe trois versions textuelles de cette hymne à la Vierge Marie.

Version 1

Beata es, Virgo Maria,
quae Dominum portasti creatorem mundi :
Genuisti eum, qui te fecit,
et in aeternum permanes virgo.
Alleluia.
Ave Maria gratia plena, Dominus tecum.

Bénie sois-tu, Vierge Marie,
qui as porté le Seigneur, le créateur du monde :
Tu l'as porté, Lui qui t'a faite,
en restant éternellement vierge.
Alléluia.
Je vous salue Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi.

Version 2

Beata es, Virgo Maria, quae credidisti Domino ;
perficientur[perfecta sunt] in te, quae dicta sunt tibi a Domino.
Ex te enim natus est Christus Deus Salvator noster qui intercedit pro nobis
apud Dominum Deum nostrum.
Alleluia.

Bénie sois-tu, Vierge Maqrie, qui a cru le Seigneur,
ce que le Seigneur t'a dit s'accomplira en toi.
Car de toi est né le Seigneur Christ, notre Sauveur qui intercède pour nous,
auprès de notre Seigneur Dieu.
Alléluia.

Beata es, virgo Maria, Dei genitrix,
quae credidisti omnia perfecta sunt in te quae dicta sunt tibi:
ecce, exaltata es super choros Angelorum:
intercede pro nobis ad Dominum Deum tuum.
Alleluia.

Bienheureuse es-tu, ô Vierge Marie, qui as donné naissance à Dieu ;
qui a cru que tout ce qui t'a été dit s'est accompli en toi :
voici, tu as été élevé au-dessus des chœurs des anges.
O prie pour nous maintenant le Seigneur votre Dieu.
Alléluia.

 

  • Sacrosanctum Concilium 37

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    Harmonie des rites.

    SC 37. L'Église, dans les domaines qui ne touchent pas à la foi ou le bien de toute la communauté ne désire pas, même dans la liturgie, imposer la forme rigide d'un libellé unique : bien au contraire, elle cultive les qualités et les dons des divers peuples et elle les développe ; tout ce qui, dans leurs mœurs, n'est pas indissolublement solidaire de superstitions et d'erreurs, elle l'apprécie avec bienveillance et, si elle peut, elle en assure la parfaite conservation ; qui plus est, elle l'admet parfois dans la liturgie elle-même, pourvu que cela s'harmonise avec les principes d'une véritable et authentique esprit liturgique.