I saw three ships — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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I saw three ships

I Saw Three Ships (Come Sailing In) est un chant de Noël traditionnel et populaire et une chanson folklorique d' Angleterre. La première version imprimée de I Saw Three Ships date du XVIIe siècle, probablement dans le Derbyshire, et est également publiée par William Sandys en 1833. La chanson était probablement connue sous As I Sat On a Sunny Bank, et était particulièrement populaire en Cornouailles .

Texte

I saw three ships come sailing in
On Christmas day, on Christmas day,
I saw three ships come sailing in
On Christmas day in the morning.
And what was in those ships all three,
On Christmas day, on Christmas day,
And what was in those ships all three,
On Christmas day in the morning ?
Our Saviour, Christ, and His Lady,
On Christmas day, on Christmas day,
Our Saviour, Christ, and His Lady,
On Christmas day in the morning.
And all the bells on earth shall ring
On Christmas day, on Christmas day,
And all the bells on earth shall ring
On Christmas day in the morning.
And all the angels in Heaven shall sing
On Christmas day, on Christmas day,
And all the angels in Heaven shall sing
On Christmas day in the morning.
And let us all rejoice and sing
On Christmas day, on Christmas day,
And let us all rejoice and sing
On Christmas day in the morning.
On Christmas day in the morning.
La da la la la la la la ...

Une interprétation à Notre-Dame  par la Maîtrise Notre-Dame de Paris (Henri Chalet) :

I saw three ships (John Rutter) Maîtrise Notre-Dame de Paris (Henri Chalet).

  • Sacrosanctum Concilium 2

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    La liturgie dans le mystère de l'Église.

    SC 2. En effet, la liturgie, par laquelle, surtout dans le divin sacrifice de l'Eucharistie, « s’exerce l’œuvre de notre rédemption », contribue au plus haut point à ce que les fidèles, par leur vie, expriment et manifestent aux autres le mystère du Christ et la nature authentique de la véritable Église. Car il appartient en propre à celle-ci d'être à la fois humaine et divine, visible et riche de réalités invisibles, fervente dans l'action et occupée à la contemplation, présente dans le monde et pourtant étrangère. Mais de telle sorte qu'en elle ce qui est humain est ordonné et soumis au divin ; ce qui est visible à l'invisible ; ce qui relève de l'action, à la contemplation ; et ce qui est présent, à la cité future que nous recherchons.          
    [...]