Chanter la messe — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

Aller au contenu. | Aller à la navigation

Outils personnels

Se connecter à l'espace privé
Menu

Chanter la messe

Comme le disent nos frères orthodoxes « On ne chante pas à la messe ; on chante la messe ! » La célébration liturgique n'est pas une action parlée dans laquelle on insérerait l'un ou l'autre « chant de messe ». Elle propose elle-même ses propres chants. C'est la liturgie qui devient chant !

Que dit l’Église aux compositeurs et éditeurs (pour les chants de la messe) ?

Ce texte, volontairement concis, a été élaboré avec le concours des Correspondants provinciaux de musique liturgique. Il a également fait l'objet d'une concertation avec le président de l'ACCREL (l'Association des Auteurs et Compositeurs de chants RELigieux). Il a été amendé et validé le 28.07.2018 par Mgr Michel Pansard, évêque référent pour la musique liturgique. Il est destiné aux compositeurs et à leurs éditeurs.

Lire la suite…

L'ordinaire

L’Ordinaire de la messe (latin: Ordo Missæ), parfois nommé Commun de la messe, est l'ensemble des prières et parties invariables de la Messe de Rite romain. L'ordinaire est différent du propre, chants qui changent durant l'année liturgique ou pour une fête religieuse. L'ordinaire se trouve dans le Missel Romain comme une section distincte.

Lire la suite…

Chanter la messe : une expérience.

On propose ici un parcours de relecture de ce que dit l'Église pour « chanter la messe », sans ignorer ce qui constitue la réalités de nos communautés paroissiales.

Lire la suite…

  • Sacrosanctum Concilium 120

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    L'orgue et les autres instruments de musique.

    SC 120. On estimera hautement, dans l'Église latine, l'orgue à tuyaux comme l'instrument traditionnel dont le son peut ajouter un éclat admirable aux cérémonies de l'Église et élever puissamment les âmes vers Dieu et le ciel.          
    Quant aux autres instruments, selon le jugement et le consentement de l'autorité territoriale compétente, conformément aux articles 22 §2, 36 et 40, il est permis de les admettre dans le culte divin selon qu'ils sont ou peuvent devenir adaptés à un usage sacré, qu'ils s'accordent à la dignité du temple et qu'ils favorisent véritablement l'édification des fidèles.