Antiennes et répons de l'Office
Le répons suit la lecture en réponse à la parole de Dieu proclamée.
L’antienne encadre le psaume : elle est chantée au début et à la fin. Elle est une clé de lecture du psaume en rapport avec le moment liturgique où celui-ci est chanté. Traditionnellement, l’antienne est mélodique. Sa mélodie est issue du ton psalmique qui l’accompagne.
Le répons suit la lecture (le capitule). Il « répond » à celle-ci. Il a une forme dialoguée entre le chantre ou la schola et la communauté. Il varie en fonction de l’Heure et du jour. Dans l’Office des Lectures, certains ont la forme d’un tropaire.
Livres, articles
- P. Daydou, Les répons de l’Office divin, Paris, Cerf, 2001.
- M.-A. Riviere, « Les antiennes de l’Office », Célébrer l’Office divin, coll. Kinnor, Paris, Fleurus, 1967, p. 157-167.
- L. Deiss, « L’hymne et le répons », Célébrer l’Office divin, coll. Kinnor, Paris, Fleurus, 1967, p. 169-183.
- S. M.-Fr. Herbaux, « L’antienne, un outil à prier », Liturgie 28, 1978, p 39-56.
- R. Gantoy, « A propos des répons », Liturgie 58, 1986, 205-227.