Union Sainte Cécile
L’instruction romaine Inter Oecumenici du 26 septembre 1964 place la chorale de telle sorte qu’on voie clairement qu’elle fait partie de l’assemblée des fidèles et qu’elle soit à même de remplir au mieux sa fonction liturgique. Musicam sacram (5 mars 1967) reconnaît toutes les formes de groupes de chantres, même féminins, mais les femmes sont exclues du chœur de l’église. Dès lors, la plupart des chorales deviennent mixtes.
Après Vatican II, le chanoine Kirchhoffer généralise le psaume responsorial et l’acclamation de l’Evangile en français. Devenu président de l’U.S.C., il milite pour la « messe alsacienne » où l’on chante en latin, en français et en allemand, sans oublier la place de l’orgue. La revue Caecilia change de format, les formations et les réunions cantonales se multiplient, l’équipe des collaborateurs s’étoffe. En 1973, l’abbé Gérard Grasser est nommé à ses côtés ; il lui succède en 1982 à la présidence de l’U.S.C.
Créée en 1975, l’Ecole d’Orgue Diocésaine (EOD) assure la formation diplômante d’organiste liturgique. Les stages de formation regroupent organistes, chefs de chœur et choristes. L’U.S.C. participe activement au développement de l’AREFAC (formation de chefs de chœur par des formateurs qualifiés) et de l’ANCOLI (Association Nationale des Chorales liturgiques). La réalité diversifiée du Peuple de Dieu se traduit dans la vie de l’U.S.C. : la place des laïcs, celle des femmes, le souci des jeunes…
En 2002, fut créé le Service diocésain de Liturgie, de Musique sacrée et d’Art sacré. Il fut confié à l’abbé Jean-Luc Lorber. Au chanoine Gérard Grasser, qui prend sa retraite, succède, comme président de l’USC, Marc Lazarus, un laïc.
En 2004, l’abbé Michel Wackenheim succède à l’abbé Lorber.
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