Drei geistliche Chöre Op. 37. — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

Aller au contenu. | Aller à la navigation

Outils personnels

Se connecter à l'espace privé
Menu

Drei geistliche Chöre Op. 37.

Les trois Geistliche Chöre op. 37 mettent fin, dans une certaine mesure, aux études strictes du canon auxquelles Brahms s'adonnait depuis plusieurs années. Ce sont des exercices d'école où il résout des problèmes de contrepoint épineux, indiqués dans la marge par des annotations latines empruntées à la terminologie ancienne ... Ces archaïsmes, comme le choix de textes de la liturgie catholique, révèle que Brahms ne résista pas à la tentation de pasticher, avec virtuosité, les motets italiens du XVIIe siècle. (Guide de la musique sacrée et chorale profane, De 1750 à nos jours, Sous la direction de François-René Tranchefort, Fayard, 2020).

Ces trois choeurs sont respectivement :

  1. O bone Jesu (Ancienne prière d'après Luc XVII, 13 et 1 Pierre I, 19).
  2. Adoramus Te (Antiphonaire de la Passion et Responsorium pour la fête de l'Invention de la Sainte CRoix).
  3. Regina Coeli laetare (Antiphonaire marial pour le temps de Pâques).

 

Johannes Brahms. Drei geistliche Chöre Op. 27  I. O bone Jesu.

Drei geistliche Chöre Op. 27 I. O bone Jesu (Johannes Brahms) Schütz Choir Of London (Roger Norrington).

Johannes Brahms. Drei geistliche Chöre Op. 27  II. Adoramus Te.

Drei geistliche Chöre Op. 27 II. Adoramus Te (Johannes Brahms) Female Choir Balta from Riga, Latvia (Mara Marnauza.

Johannes Brahms. Drei geistliche Chöre Op. 27  III. Regina coeli laetare.

Drei geistliche Chöre Op. 27 III. Regina coeli laetare (Johannes Brahms) Kiev Glier Institute of Music Vocal Group from Kiev, Ukraine, (Galina Gorbatenko).

Pour suivre avec les partitions :

Drei geistliche Chöre Op. 27 I. O bone Jesu (Johannes Brahms) 

  • Sacrosanctum Concilium 2

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    La liturgie dans le mystère de l'Église.

    SC 2. En effet, la liturgie, par laquelle, surtout dans le divin sacrifice de l'Eucharistie, « s’exerce l’œuvre de notre rédemption », contribue au plus haut point à ce que les fidèles, par leur vie, expriment et manifestent aux autres le mystère du Christ et la nature authentique de la véritable Église. Car il appartient en propre à celle-ci d'être à la fois humaine et divine, visible et riche de réalités invisibles, fervente dans l'action et occupée à la contemplation, présente dans le monde et pourtant étrangère. Mais de telle sorte qu'en elle ce qui est humain est ordonné et soumis au divin ; ce qui est visible à l'invisible ; ce qui relève de l'action, à la contemplation ; et ce qui est présent, à la cité future que nous recherchons.          
    [...]