Jehan Alain (1911-1940) — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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Jehan Alain (1911-1940)

Jehan Alain, né à Saint-Germain-en-Laye le 3 février 1911, est un compositeur et organiste français. Il est le fils du compositeur Albert Alain et le frère des organistes Marie-Claire Alain et Olivier Alain.
Marié en 1935, père de trois enfants, il est mobilisé au début de la Seconde Guerre mondiale. Cité pour actes de bravoure, il incorpore le premier Groupe Franc de Cavalerie du capitaine de Neuchèze et participe à la bataille des Cadets de Saumur en juin 1940. Il résiste seul à un peloton d'assaut allemand et meurt au champ d'honneur à 29 ans.

Noëls

L'année 1938 fut, pour Jehan Alain, particulièrement féconde dans le domaine de la musique religieuse : il composa un choeur à trois voix égales, Que j'aime de divin enfant ; un choeur à deux voix égales, D'où vient qu'en cette nuictée.

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Ave Maria

En 1937, un Ave Maria sur une « vocalise dorienne » de vingt-cinq mesures pour voix de soprano et accompagnement d'orgue, dédié à sa sœur Marie-Odile, et créé à Saint-Germain-des-Prés le 23 mars 1941 par Henriette Beauduin

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Tantum ergo

Le Tantum ergo est un extrait (les deux dernières strophes) de l'hymne des vêpres Pange lingua, composée par saint Thomas d'Aquin. Depuis le XIXe siècle, le chant se consacre surtout à la célébration du salut du Saint-Sacrement.

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Messes

Jehan Alain a laissé deux messes, une messe de Requiem et une Messe brève (dite également Messe modale en septuor), toutes deux achevées également en 1938. Comme l'ensemble des pièces de musique religieuse, ces messes n'ont rien de théâtral, mais sont au contraire d'un grand dépouillement.

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  • Sacrosanctum Concilium 12

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    Liturgie et pieux exercices.

    SC 12. Cependant, la vie spirituelle n'est pas enfermée dans la participation à la seule liturgie. Car le chrétien est appelé à prier en commun : néanmoins, il doit aussi entrer dans sa chambre pour prier le Père dans le secret, et, même, enseigne l'Apôtre, il doit prier sans relâche. Et l'Apôtre nous enseigne aussi à toujours porter dans notre corps la mortification de Jésus, pour que la vie de Jésus se manifeste, elle aussi, dans notre chair mortelle. C'est pourquoi dans le sacrifice de la messe nous demandons au Seigneur « qu'ayant agréé l'oblation du sacrifice spirituel il fasse pour lui de nous-mêmes une éternelle offrande ».