Behold, O God our defender — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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Behold, O God our defender

Comme la plupart des œuvres ultérieures de Howells, il s'agit d'une œuvre chorale profondément religieuse qui se classe au sommet de la tradition chorale anglaise. Composé le jour de Noël 1952, Behold, O God Our Defender est pour chœur mixte avec accompagnement d'orgue ou de piano.

En novembre 1952, Howells est invité à composer un court Introit pour le service du couronnement de la reine Elizabeth II. Le texte devait être des versets du Psaume 84, commençant par « Voici, ô Dieu notre défenseur ». Il acheva ce prélude calme et réfléchi à une grande occasion d'État à la fin de cette année-là, le jour de Noël. Pour le couronnement lui-même, les chœurs combinés étaient nombreux et Howells a fourni une partition entièrement orchestrée, mais cet hymne sensible est plus généralement entendu, comme ici, avec des forces plus petites et un accompagnement d'orgue.

Texte

Behold, O God our defender, and look upon the face of thine anointed.
Great prosperity givest thou unto thy king
and will show loving kindness unto thine anointed for evermore.
The adversaries of the Lord shall be broken to pieces.
Out of heaven shall he thunder upon them,
but he shall give strength unto his king
and exalt the horn of his anointed. Amen.

Herbert Howells Behold, o God, our defender.

Behold, o God, our defender (Herbert Howells) The Choir of Somerville College, Oxford (David Crown).

Pour suivre avec la partition :

Behold, o God, our defender (Herbert Howells) Westminster Abbey Choir, London Brass , Martin Neary, Martin Baker & English Chamber Orchestra.

 

  • Sacrosanctum Concilium 6

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    L’œuvre du salut continuée par l'Église se réalise dans la liturgie.

    SC 6. C'est pourquoi, de même que le Christ fut envoyé par le Père, ainsi lui-même envoya ses apôtres, remplis de l'Esprit Saint, non seulement pour que, prêchant l'Évangile à toute créature, ils annoncent que le fils de Dieu, par sa mort et sa Résurrection, nous a délivrés du pouvoir de Satan ainsi que de la mort, et nous a transférés dans le royaume de son Père, mais aussi afin qu'ils exercent cette œuvre de salut qu'ils annonçaient, par le sacrifice et les sacrements autour desquels gravite toute la vie liturgique. C'est ainsi que par le baptême les hommes sont greffés sur le mystère pascal du Christ : morts avec Lui, ensevelis avec Lui, ressuscités avec Lui ; ils reçoivent l'esprit d'adoption des fils « dans lequel nous crions : Abba, Père » (Rom. 8, 15), [...]