A hymn for St Cecilia — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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A hymn for St Cecilia

En 1960, le compositeur anglais Herbert Howells (1892-1983) a été chargé de composer A Hymn for St. Cecilia par la Worshipful Company of Musicians. En 1959-60, Howells était maître de ce corps, qui est l'une des Livery Companies de la ville de Londres avec une histoire remontant au milieu du XIVe siècle. À une certaine époque, cette guilde de musiciens avait un contrôle total sur toutes les performances musicales à Londres. Ils remplissent désormais un rôle cérémonial et philanthropique.

Le texte choisi pour la pièce de Howells est de la poétesse et écrivaine Ursula Vaughan Williams (1911-2007), la seconde épouse du compositeur Ralph Vaughan Williams. Étant donné que certains des plus grands poètes anglais ont écrit des œuvres en l'honneur de Sainte-Cécile (dont John Dryden, Alexander Pope et W. H. Auden), il a été  courageux d'ajouter son nom au tableau.

Le chef d'orchestre et compositeur Paul Spicer a écrit à propos de cette œuvre : « La merveilleuse nature de danse sur la pointe des pieds de cette pièce s'inspire de la première entrée vocale syncopé et chaque phrase trouve des notes de plus en plus aiguës au fur et à mesure que le couplet avance. C'est un air classique "cumulatif" qui entraîne le chanteur sur une vague d'énergie émotionnelle croissante et laisse l'impression d'être un morceau beaucoup plus grand que ses composants.

L'œuvre a été chantée pour la première fois à l'Evensong à la cathédrale Saint-Paul de Londres le jour de la Sainte-Cécile (22 novembre) en 1961. Le descant entendu dans le troisième couplet a été ajouté à la demande de l'organiste de la cathédrale. C'est une brillante évocation du « long délice du ciel », l'espoir confiant dans la dernière ligne du poème.

Texte

Sing for the morning's joy, Cecilia, sing,
In words of youth and praises of the Spring,
Walk the bright colonnades by fountains' spray,
And sing as sunlight fills the waking day;
Till angels, voyaging in upper air,
Pause on a wing and gather the clear sound
Into celestial joy, wound and unwound,
A silver chain, or golden as your hair.

Sing for your loves of heaven and of earth,
In words of music, and each word a truth;
Marriage of heart and longings that aspire,
A bond of roses, and a ring of fire.
Your summertime grows short and fades away,
Terror must gather to a martyr's death;
But never tremble, the last indrawn breath
Remembers music as an echo may.

Through the cold aftermath of centuries,
Cecilia's music dances in the skies;
Lend us a fragment of the immortal air,
That with your choiring angels we may share,
A word to light us thro' time-fettered night,
Water of life, or rose of paradise,
So from the earth another song shall rise
To meet your own in heaven's long delight.

Herbert Howells A hymn to St Cecilia

A hymn to St Cecilia (Herbert Howells) The Choir of Somerville College, Oxford Robert Pecksmith,organ, (David Crown).

En version covidée :

A hymn to St Cecilia (Herbert Howells) St. Bartholomew’s Choir (Paolo Bordignon) Organist and Choirmaster.


 

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