Psaume 121 Op. 72 — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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Psaume 121 Op. 72

Le « Psaume 121 » de Darius Milhaud pour chœur d'hommes a cappella a été composé en 1921.

Darius Milhaud s’est intéressé à tous les genres musicaux : opéra, musique de chambre, musique symphonique, concertos, ballets, musique vocale. Il est l’un des compositeurs les plus prolifiques non seulement du xxe siècle, mais aussi de toute l’histoire de la musique. Son style, mélange de lyrisme et de gaieté, emprunte beaucoup aux musiques folkloriques, et au jazz, qu’il affectionne particulièrement pour ses rythmes syncopés. Milhaud explore toutes les possibilités de l’écriture : à la fois fin contrapuntiste, il utilise fréquemment la polyrythmie et la polytonalité, qui rendent son œuvre extrêmement riche et diverse.

Milhaud a grandement contribué à élargir le répertoire vocal, autant pour voix solo que pour chœur. Les textes mis en musique sont extrêmement divers, provenant aussi bien d’écrivains comme André Gide que du Pape Jean XXIII, dont l'encyclique « Pacem in Terris » de 1963 sera mise en musique par le compositeur. C’est en effet dans la musique vocale que la religion prend une place importante chez Milhaud. C’est là qu’il renoue avec la religion qui est la sienne, le judaïsme. La toute dernière œuvre de Milhaud, qu’il compose l’année de sa mort, est en effet une cantate « Ani Maamin », fondée sur un texte d’Élie Wiesel, déporté à l’âge de quinze ans à Auschwitz. Les questions religieuses deviennent alors existentielles, et confinent à la philosophie.

Darius Milhaud Psaume 121 Op. 72

Psaume 121 Op. 72 (Darius Milhaud) Männerstimmen Basel,

Pour suivre avec la partition :

Psaume 121 Op. 72  (Darius Milhaud) Vox Aros.

 

  • Sacrosanctum Concilium 41

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    La vie liturgique du diocèse.

    SC 41. L'évêque doit être considéré comme le grand prêtre de son troupeau ; la vie chrétienne des fidèles découle et dépend de lui en quelque manière.         
    C'est pourquoi tous doivent accorder la plus grande estime à la vie liturgique du diocèse autour de l'évêque, surtout dans l'église cathédrale ; ils doivent être persuadés que la principale manifestation de l'Église consiste dans la participation plénière et active de tout le saint peuple de Dieu, aux mêmes célébrations liturgiques, surtout dans la même Eucharistie, dans une seule prière, auprès de l'autel unique où préside l'évêque entouré de son presbyterium et de ses ministres.