Anton Bruckner (1824-1896) — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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Anton Bruckner (1824-1896)

Anton Bruckner, né le 4 septembre 1824 et mort le 11 octobre 1896, est un compositeur et organiste autrichien. Figure éminente du romantisme allemand, sa rencontre avec Richard Wagner, en septembre 1873, influença la composition de sa 3e symphonie. Sa musique polyphonique et théologique, à l'orchestration par blocs différenciés à partir d'une cellule de base, fut desservie par la critique et un auditoire viennois acquis à la musique de Brahms. Il nous laisse cinq messes, deux Requiem, cinq Psaumes, un Magnificat, des motets, un Te Deum, des Ave Maria, des graduels, ... Une remarquable oeuvre religieuse.

Œuvres et partitions

Des partitions téléchargeables dans le site Choral Public Domain Library qui propose plus de 40.000 œuvres chorales et vocales d'au moins 3983 compositeurs.

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Motets (1835-1892)

Anton Bruckner a composé quelque 40 motets au cours de sa vie, le premier un Pange lingua vers 1835, le dernier un Vexilla regis en 1892. Bien moins fréquents dans nos salles qu’ils ne devaient l’être, les 34 motets latins de Bruckner parcourent toute la carrière du compositeur, de 1835 -alors qu’il n’avait que onze ans- à 1892, quatre ans avant sa mort. Contrairement aux splendeurs de ses trois grandes messes, Bruckner exprime ici son ardente foi catholique dans des formes brèves.

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Magnificat (1852).

Bruckner composa l'œuvre pour les vêpres de la fête de l'Assomption de Marie. Il a dédicacé l'œuvre à Ignaz Traumihler, le maître des chœurs de l'Abbaye de Saint-Florian. L'œuvre a été créée le 15 août 1852 à Saint-Florian. Malgré le fait que Traumihler était un fervent adepte du Mouvement cécilien, l'œuvre est restée dans le répertoire de l'Abbaye. D'autres exécutions ont eu lieu les 25 décembre 1852, 15 mai 1854, 25 décembre 1854 et 27 mai 1855

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Ave Maria (1856 ; 1861)

Anton Bruckner a écrit plusieurs Ave Maria, tous magnifiques (WAB 5 à WAB 7). Ave Maria I en fa majeur pour soprano, contralto, chœur mixte, orgue et violoncelle, WAB 5 (1856) ; Ave Maria II en fa majeur pour chœur mixte à sept voix, WAB 6 (1861) - le plus souvent exécuté ; Ave Maria III en fa majeur pour contralto et orgue ou harmonium, WAB 7 (1882).

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Te Deum WAB 45 (1881-1884)

Bruckner initia la composition de son Te Deum du 3 au 17 mai 1881, lorsqu'il finalisait sa 6e Symphonie. Il mit ensuite en chantier celle de la 7e Symphonie. Après la finalisation de la symphonie, Bruckner reprit le 28 septembre 1883 la composition du Te Deum. Les parties vocales et orchestrales furent complétées le 7 mars 1884. Celle de la partie d'orgue ad lib. a été composée sur une partition additionnelle le 16 mars 1884.

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Messes

Bruckner a composé (et mené à terme) non moins de sept messes en incluant incluant une messe de Requiem. Seules, trois d'entre elles (de 1864, 1866 et 1868) ... ont conservé une notoriété, faisant l'objet de fréquentes exécutions, en pays anglo-saxons tout au moins. Les trois premières messes sont appelées assez couramment "messes de jeunesse". En effet, les deux premières que Bruckner ait écrites sont à comptabiliser au registre des exercices d'école, à une époque où le jeune musicien est encore à étudier l'Art de la fugue". (Guide de la musique sacrée et chorale profane, de 1750 à nos jours, sous la direction de François-René Tranchefort, Fayard, 2020).

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Psaumes

Anton Bruckner a mis cinq psaumes en musique, le premier en 1852 : le Psaume 114, le dernier en 1892 : le Psaume 150. Psaume 114, WAB 36, en sol majeur. Psaume 22, WAB 34, en mi bémol majeur. Psaume 146, WAB 37, en la majeur. Psaume 112, WAB 35, en si bémol majeur. Psaume 150, WAB 38, en do majeur.

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  • Sacrosanctum Concilium 1

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    SC 1. Puisque le saint Concile se propose de faire progresser la vie chrétienne de jour en jour chez les fidèles ; de mieux adapter aux nécessités de notre époque celles des institutions qui sont sujettes à des changements ; de favoriser tout ce qui peut contribuer à l'union de tous ceux qui croient au Christ, et de fortifier tout ce qui concourt à appeler tous les hommes dans le sein de l’Église, il estime qu'il lui revient à un titre particulier de veiller aussi à la restauration et au progrès de la liturgie.