Jesu, Rex admirabilis — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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Jesu, Rex admirabilis

Iesu, rex admirabilis,
et triumphator nobilis,
dulcedo ineffabilis,
totus desiderabilis.
Une hymne de saint Bernard de Clairvaux

Cette hymne (Jesu dulcis memoria) est attribuée à Saint Bernard de Claivaux (1090-1153). Sa longueur varie d’un manuscrit à l’autre, et va de 42 à 53 strophes. De fait, elle était divisée en trois parties, et employée dans trois offices différents de la Fête du Nom de Jésus. Le texte figure dans le Romanum Breviarium, le Bréviaire romain de 1908, avec le découpage actuel en trois parties tel qu’il est donné plus bas, selon le site internet www. preces-latinae.org.

Cette fête se célébrait anciennement, dans le temps de Noël, au dimanche entre la Circoncision : 1er janvier et l’Epiphanie : 6 janvier, ou faute de dimanche telle année, le 2 janvier. Dans les plans de lectures protestants allemands actuels, elle est placée au 1er janvier.

Le chant de St Bernard était réparti sur trois offices :  

  • 1ère partie : Jesu dulcis memoria (Vêpres) 5 strophes
  • 2ème partie : Jesu rex admirabilis (Matines) 5 strophes
  • Jesu decus angelicum (Laudes)
    5 strophes                                                           

Iesu, rex admirabilis,
et triumphator nobilis,
dulcedo ineffabilis,
totus desiderabilis.

ex virtutum, rex gloriae,
rex insignis victoriae,
Iesu, largitor gratiae,
honor caelestis curiae.

Jésus, le roi très admirable
et le noble triomphateur,
la douceur que nul mot ne dit,
le totalement désirable.

Roi des puissances, roi de gloire,
roi de victoire sans égal,
Jésus, donateur de tout bien,
honneur de l'assemblée des anges.

Partition

 Wietse Stuurman Jesu Rex admirabilis

Jesu Rex admirabilis (Wietse Stuurman)  Studentenkoor Gica

 

 

  • Sacrosanctum Concilium 120

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    L'orgue et les autres instruments de musique.

    SC 120. On estimera hautement, dans l'Église latine, l'orgue à tuyaux comme l'instrument traditionnel dont le son peut ajouter un éclat admirable aux cérémonies de l'Église et élever puissamment les âmes vers Dieu et le ciel.          
    Quant aux autres instruments, selon le jugement et le consentement de l'autorité territoriale compétente, conformément aux articles 22 §2, 36 et 40, il est permis de les admettre dans le culte divin selon qu'ils sont ou peuvent devenir adaptés à un usage sacré, qu'ils s'accordent à la dignité du temple et qu'ils favorisent véritablement l'édification des fidèles.