Mein Herr und mein Gott (Mon Seigneur et mon Dieu) — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

Aller au contenu. | Aller à la navigation

Outils personnels

Se connecter à l'espace privé
Menu

Mein Herr und mein Gott (Mon Seigneur et mon Dieu)

Dans cette pièce, Pēteris Vasks met en musique une prière de l'ascète et mystique suisse Nicklaus von Flüe (1417-1487), qu'il aurait prié quotidiennement.

Texte

Mein Herr und mein Gott, nimm alles von mir,
was mich hindert zu Dir, nimm alles von mir.
Mein Herr und mein Gott, gib alles mir,
was mich führt zu Dir, gib alles mir.
Mein Herr und mein Gott, nimm mich mir
und mache mich ganz zu eigen Dir.


Mon Seigneur et mon Dieu, prends tout de moi
ce qui m'éloigne de toi, prends-moi tout.
Mon Seigneur et mon Dieu, donne-moi tout
ce qui me conduit à toi, donne-moi tout.
Mon Seigneur et mon Dieu, déprends-moi de moi
et fais de moi tout à toi.
 

En trois lignes, chacune introduite par l'adresse « Mon Seigneur et mon Dieu », l'auteur recherche la proximité avec le Créateur. Alors que les vers extérieurs sont conservés dans un piano méditatif, la musique augmente pendant la ligne médiane (« Donnez-moi tout ce qui m'amène à vous ! ») Jusqu'à un point culminant dans le forte. Après une pause générale et un autre piano, la prière musicale se termine avec les mots « Déprenez-moi de moi et donnez-moi complètement à vous » dans un ut majeur paisible et soutenu.

Dans l'interprétation du Latvian Radio Choir avec le Sinfonietta Riga sous la direction de Sigvards Kļava :

Mein Herr und mein Gott (Peteris Vasks) Latvian Radio Choir, Sinfonietta Riga (Sigvards Latvian).

 

  • Sacrosanctum Concilium 110

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    Carême.

    SC 110. La pénitence du temps de Carême ne doit pas être seulement intérieure et individuelle, mais aussi extérieure et sociale. La pratique de la pénitence, selon les possibilités de notre époque et des diverses régions, et selon les conditions des fidèles, sera favorisée et, par les autorités mentionnées à l'article 22, et recommandée.
    Cependant, le jeûne pascal, le vendredi de la passion et de la mort du Seigneur, sera sacré ; il devra être partout observé et, selon l'opportunité, être étendu au Samedi saint pour que l'on parvienne avec un cœur élevé et libéré aux joies de la résurrection du Seigneur.