Liturgie et spiritualité

La spiritualité religieuse est souvent associée à l'origine latine religare, dont le premier sens est : attacher par-derrière, relier , attacher, amarrer [les navires au rivage]. C'est une racine possible du mot religion. Il s'agit alors essentiellement dans un sens très extensif de se relier à Dieu, au divin, à une réalité transcendante. Comment les différentes spirituelles qui se sont développées au sein du christianisme envisagent-elles leur rapport à la liturgie ?

Liturgie et spiritualité dans LMD

Les articles sur la liturgie et la spiritualité parus dans La Maison-Dieu du numéro 1 (1945) au numéro 232 (2002)

Articles et documents divers sur les rapports entre liturgie et spiritualité.

Des articles et documents qui explorent les rapports entre liturgie et spiritualité.

La liturgie dans les grandes familles spirituelles

Si la liturgie peut apparaître au premier abord comme l'expression de la spiritualité objective de l’Église, l'histoire de celle-ci a vu naître et se développer diverses formes de spiritualité, dans le sillage des saints fondateurs le plus souvent. Si donc, ces approches subjectives doivent au premier abord, être indépendantes de la liturgie, la question se pose quand même de savoir comment la théologie articule la liturgie et la spiritualité. Quels rapports entretiennent la liturgie supra-individuelle et la spiritualité choisie et ancrée dans l'individu ?

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Prière Adoration eucharistique

Comment comprendre et pratiquer le conseil donné en 1 Th 5, 16-18 : « 16 Soyez toujours dans la joie, 17 priez sans relâche, 18 rendez grâce en toute circonstance : c’est la volonté de Dieu à votre égard dans le Christ Jésus » ? Si ce conseil est à l'origine de la Liturgie des Heures, celle-ci n'a pas empêché que se développent des spiritualités diverses et des formes variées de prière, notamment l’adoration eucharistique.

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Sacrosanctum Concilium 100

Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

Participation des fidèles.

SC 100. Les pasteurs veilleront à ce que les Heures principales, surtout les vêpres, les dimanches et jours de fêtes solennelles, soient célébrées en commun dans l'église. On recommande aux laïcs eux-mêmes la récitation de l'office divin, soit avec les prêtres, soit lorsqu'ils sont réunis entre eux, voire individuellement.