Le prêtre dans LMD — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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Le prêtre dans LMD

Articles sur le prêtre « célébrant » ou « président » de la célébration eucharistique parus dans LMD à partir du du numéro 1 (1945).

 

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Résumés

Résumé Troupeau LMD 309. Là où le latin dispose de deux termes pour désigner le prêtre, sacerdos et presbyter, le français ne connaît qu'un seul terme « prêtre » qui les traduit habituellement tous les deux, dans les textes conciliaires ou dans les livres liturgiques par exemple. Toutefois, les deux mots latins ne sont pas équivalents. Différents exemples illustrent cette difficulté et les choix qui ont été faits, parmi lesquels l'auteur retient comme le plus adéquat celui qui permet de visibiliser, dans la traduction française, les occurences des deux termes latins.

Résumé Repole LMD 313. Que signifie présider la liturgie, surtout l'eucharistie, dans une Église synodale ? Telle est la question à laquelle l'auteur apporte une réponse à la fois théologique et issue de sa propre expérience, soulignant la continuité essentielle entre l'assemblée liturgique célébrant l'eucharistie et l'assemblée synodale. Ce que désigne particulièrement la présidence de l'évêque au sein d'une assemblée célébrante, corps du Christ, convoquée et rassemblée par le Christ pour marcher avec lui à sa suite, et dans laquelle prend part une diversité de ministères. L'auteur relève un certain nombre de points d'attention sur la manière de présider et d'exercer les différents services de l'assemblée.

Résumé Guiziou LMD 313. La recherche actuelle d'une synodalité plus grande dans l'Église, mais aussi dans la liturgie, conduit à s'interroger sur la manière d'envisager le ministère des prêtres présidant les célébrations au milieu de l'assemblée. S'appuyant sur la Tradition de l'Église, sur la théologie développée depuis le dernier Concile, et sur les écrits des derniers papes, l'auteur développe trois caractéristiques majeures de ce ministère de présidence qui en constituent, en quelque sorte, le programme :
- la première est l'insistance sur le ministère de la Parole, exercé par le ministère ordonné, qui préside aux autres munera, - d'où la mise en valeur du munus docendi, du service de l'homélie et de sa fonction de catéchète ;
- la deuxième réside dans le fait qu'il articule les différents ministères et l'esnemble des fidèles au service de l'action même du Christ au milieu de son peuple. A ce titre, il convient de relever l'insistance sur la charge spécifique des prêtres au service du mémorial de la Pâque du Christ et de lépiclèse - allant de pair avec la nécessité d'une réorganisation territoriale de la communauté chrétienne -, mais aussi l'intérêt d'une approche oecuménique ;
- enfin, la troisième insiste sur l'unité du presbyterium avec son évêque, ce qui demande de déployer les célébrations diocésaines avec un soin particulier et de développer la pratique synodale, non seulement dans les communautés chrétiennes mais ausi au sein du presbyterium, pour vivre la collégialité autour de l'évêque.

Résumé Bärsch LMD 313. Partant des questions contemporaines qui se posent autour de la place et du rôle du prêtre dans les communautés ecclésiales en Allemagne, et particulièrement dans la présidence liturgique, l'auteur en retrace tout d'abord l'histoire avant de préciser les perspsectives possibles pour les pratiques actuelles. C'est le Moyen Âge qui confère progressivementau prêtre une image particulière qui le distingue du peuple de Dieu, en tant que vicarius Christi, médiateur entre Dieu et les hommes. Cette représentation s'intensifie aux XIXe et XXe sièclesoù il est perçu comme représentant de Dieu, agissant in persona Christi. La théologie catholique issue du Concile Vatican II conduit à retrouver davantage le service liturgique du prêtre qui « consiste à servir celui qui est présent depuis déjà longtempset à aider la communauté à faire l'expérience de cette présence », orientant son regard vers le Christ qui agit à travers la personne du prêtre. Cela conduit l'auteur à s'interroger sur certaines pratiques et à une réflexion critique des règles liturgiques pour viser à favoriser, toujours mieux, une juste représentation du Christ et de son Eglise dans la liturgie.

Résumé Forestier Pinon LMD 313. Depuis la réforme de la Semaine sainte par Pie XII en 1955, la messe chrismale a connu plusieurs évolutions, avec une insistance de plus en plus marquée sur le ministère presbytéral. Alors que la messe stationale est considérée comme « la principale manifestation de l'Église » (SC 41), la transformation de la messe chrismale en « fête des prêtres » risque de relativiser la place des autres acteurs de la vie diocésaine, à commencer par les diacres. En examinant ce que prévoient les rituels et grâce à la prise en compte de quelques célébrations récentes en France, cet article cherche à montrer comment les interrogations contemporaines sur les ministères permettent d'examiner les normes et les pratiques liturgiques, jusqu'à proposer quelques évolutions pour inscrire le rite de la rénovation des promesses liées à l'ordination à l'intérieur de l'engagement missionnaire de tous les acteurs de la vie diocésaine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • Sacrosanctum Concilium 118

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    Le chant religieux populaire.

    SC 118. Le chant religieux populaire sera intelligemment favorisé, pour que dans les exercices pieux et sacrés, et dans les actions liturgiques elles-mêmes, conformément aux normes et prescriptions des rubriques, les voix des fidèles puissent se faire entendre.