La communion à la messe dans LMD
- Charles Michel-Jean. « La communion au calice » La Maison-Dieu 085 (1966/1)
- Roger Béraudy. « Les rites de préparation à la communion » La Maison-Dieu 100 (1969/4)
- Jean-Charles Didier. « Le ministre extraordinaire de la distribution de la communion » Note historique et théologique. La Maison-Dieu 103 (1970/3)
- Instruction sur une plus large faculté d'administrer la communion sous les deux espèces et quelques remarques. La Maison-Dieu 103 (1970/3)
- Louis-Marie Chauvet. « Communion et dévotion. Réflexions sur les théologies et les pratiques de l'eucharistie » La Maison-Dieu 203 (1995/3)
- Pierre-Marie Gy. o.p. « Spiritualité de la communion d'après la liturgie » La Maison-Dieu 203 (1995/3)
- Ghislain Pinckers. « Communier avec dévotion » La Maison-Dieu 203 (1995/3)
- Paul de Clerck. « Réflexions théologiques » La Maison-Dieu 203 (1995/3)
- Pierre-Marie Gy. o.p. « The Shape of the Liturgy de Dom Gregory Dix (1945). L'homme, l'oeuvre et son influence » La Maison-Dieu 204 (1995/4)
- Aldo Marengo Domenico Mosso. « La formation des ministres extraordinaires de la communion » L'expérience du diocèse de Turin. La Maison-Dieu 205 (1996/1)
- René Pothier, Sr Catherine Aubin. « La fraction du pain et sa signification » La Maison-Dieu 209 (1997/1)
- Jean-Michel Sordet. « Les pratiques de communion et leur intention » La Maison-Dieu 209 (1997/1)
- Paul de Clerck. « Une mystagogie des rites de la communion » La Maison-Dieu 226 (2001/2)
- Pierre Kokot. « 'Agneau de Dieu qui enlèves les péchés du monde' : histoire et réception d'une traduction » La Maison-Dieu 312 (2023/2) Résumé
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Résumés
Résumé Kokot LMD 312. Bien que le texte biblique sur lequel s'appuie notre Agnus Dei désigne « l'Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde », la tradition liturgique latine a choisi le pluriel « peccata » (les péchés). Le Missel romain de 1970 en langue française a, lui, choisi de dire « le péché du monde ». L'étude des archives de l'élaboration de ce Missel montre que ce choix fut pastoral, essentiellement pour en faciliter le chant. La décision de Liturgiam authenticam de traduire au plus près du texte latin a conduit, dans la nouvelle traduction du Missel (2022), à la formulation « les péchés du monde ». Ce changement, qui renvoie à des débats théologiques, est « symptomatique de l'ambivalence des textes dont l'expression ne parvient jamais à en épuiser totalement le sens. »