Les chantiers de Notre-Dame — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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Les chantiers de Notre-Dame

Le Laboratoire de Recherche des Monuments Historiques et Notre-Dame de Paris.

Dans la nuit du 15 au 16 avril 2019 la cathédrale Notre-Dame prenait feu créant un émoi encore sensible aujourd'hui. Assumant son rôle de service à compétence national au service des monuments historiques le LRMH s'est tout de suite engagé dans ce "chantier du siècle". Investi dès le mois de mai 2019 dans le tri des décombres il a participé activement à la sauvegarde des éléments tombés des voûtes, de la charpente historique et de la flèche. Avec ses partenaires de l'Institut National d'Archéologie Préventive (INRAP) et du Service Régional de l'Archéologie (SRA) il a mis en place une méthodologie de tri, de classement et d'inventaire des décombres dans le but de les étudier et pour certain de les réutiliser lors de la phase de restauration. Le Laboratoire conseille également la maîtrise d'oeuvre et l'établissement public pour le diagnostic des voûtes et sur les méthodes de nettoyage de la cathédrale. 

Au ministère de la Culture, le chantier "verre" à Notre-Dame.

La cathédrale Notre-Dame-de-Paris est éclairée par plus de 120 verrières datant du XIIIe siècle au XXe siècle. Lors de l’incendie du 15 avril 2019, les pompiers ont maîtrisé l’action de l’eau pour préserver la globalité de ces vitraux. La voûte a su remplir son rôle de bouclier, pour isoler et donc épargner plus de 3000m2 de surfaces vitrées. 

Des projets d’études préalables étaient programmés avant l’incendie. C’est donc dans un nouveau contexte et un environnement plus complexe que ces études vont être mises en œuvre et enrichies de nouvelles problématiques. 

 

 

 

 

  • Sacrosanctum Concilium 99

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    Récitation commune de l'office divin.

    SC 99. Puisque l'office divin est la voix de l'Église, c'est-à-dire de tout le Corps mystique adressant à Dieu une louange publique, il est recommandé que les clercs non obligés au chœur, et surtout les prêtres vivant en commun ou passagèrement réunis, acquittent en commun au moins une partie de l'office divin.       
    Mais tous ceux qui acquittent l'office, soit choralement, soit en commun, accompliront la fonction qui leur est confiée le plus parfaitement possible, soit quant à la dévotion intérieure, soit quant à la réalisation extérieure.
    Il importe en outre que l'office, au chœur ou en commun, soit chanté, selon l'opportunité.