François : l’Église n’a pas assez écouté la voix des femmes — Ressources liturgiques - Association Sacrosanctum Concilium

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François : l’Église n’a pas assez écouté la voix des femmes

Nous publions la préface du Pape François au livre « Démasquer l'Église ? », une confrontation critique au livre « Principes » de Hans Urs von Balthasar (Edizioni Paoline) paru ces derniers jours. Le volume rassemble les interventions de trois théologiens, la religieuse salésienne Linda Pocher, Lucia Vantini et don Luca Castiglioni, qui ont participé à la réunion du Conseil des cardinaux des 6 et 7 février afin de réfléchir sur le rôle des femmes dans l'Église.

Pape François

La présence et la contribution des femmes à la vie et à la croissance des communautés ecclésiales par la prière, la réflexion et l'action sont des réalités qui ont toujours enrichi l'Église, et qui constituent même son identité. Pourtant, nous nous sommes rendu compte, en particulier au cours de la préparation et de la célébration du Synode, que nous n'avons pas suffisamment écouté la voix des femmes dans l'Église et que l'Église a encore beaucoup à apprendre d'elles.

Nous devons nous écouter les uns les autres pour «démasculiniser» l'Église, car l'Église est une communion d'hommes et de femmes qui partagent la même foi et la même dignité baptismale. En écoutant vraiment les femmes, nous, les hommes, écoutons quelqu'un qui voit la réalité sous un angle différent et nous sommes ainsi amenés à revoir nos projets, nos priorités. Parfois, nous sommes déconcertés. Parfois, ce que nous entendons est si nouveau, si différent de notre façon de penser et de voir, que cela semble absurde et que nous nous sentons intimidés. Mais cette perplexité est saine, elle nous fait grandir.

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  • Sacrosanctum Concilium 102

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    Sens de l'année liturgique.

    SC 102. Notre Mère la sainte Église estime qu'il lui appartient de célébrer l'ouvre salvifique de son divin Époux par une commémoration sacrée, à jours fixes, tout au long de l'année. Chaque semaine, au jour qu'elle a appelé jour du Seigneur, elle fait mémoire de la résurrection du Seigneur, qu'elle célèbre encore une fois par an, en même temps que sa bienheureuse passion, par la grande solennité de Pâques.     
    Et elle déploie tout le mystère du Christ pendant le cycle de l'année, de l'Incarnation et la Nativité jusqu'à l'Ascension, jusqu'au jour de la Pentecôte, et jusqu'à l'attente de la bienheureuse espérance et de l'avènement du Seigneur. [...]