La messe vient de se terminer, elle était accompagnée à l'orgue et voici que tout d'un coup, ce dernier se lance dans une improvisation du chant de sortie très insolite, assez dissonante, et qui surprend nos oreilles. Quelle est donc cette musique ? Pourquoi nous étonne-t-elle autant et même peut nous déranger ?
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La « musique sacrée »
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Musique sacrée contemporaine
Léo Delibes (1836 – 1891) est essentiellement connu (et reconnu) par sa vingtaine d'œuvres lyriques (Lakmé) et sa demi-douzaine de ballets (Coppélia). Il écrira néanmoins quelques pièces vocales sacrées, intimistes pour voix de femmes. Jamais publié, Sancta Maria mater Christi relève de cette même veine en faisant appel ici aux 4 voix mixtes.
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De Mendelssohn ...
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Léo Delibes (1836-1891).
Zoltán Kodály a écrit une mise en musique chorale de l'hymne chrétien Te Deum. Créé en 1936, ce Budavári Te Deum est dans le style de la musique folklorique traditionnelle hongroise mais emploie des méthodes de composition créatives propres à Kodály.
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De Mendelssohn ...
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Zoltán Kodály (1882-1967).
La Missa brevis fut initialement écrite comme une messe pour orgue. Sa date de composition exacte demeure incertaine: on avance généralement 1942, mais les documents dont nous disposons aujourd’hui semblent indiquer que Kodály a plus vraisemblablement écrit sa Messe pour orgue alors qu’il passait un séjour à Galyatető, son lieu de vacances de prédilection, durant l’été 1943.
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De Mendelssohn ...
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Zoltán Kodály (1882-1967).
Le Stabat Mater est une hymne ainsi qu'une séquence du Moyen Âge, traditionnellement attribuée au poète franciscain Jacopone da Todi. Texte réservé à la liturgie des Heures, cette œuvre est associée à la fête de Notre-Dame des sept Douleurs par l'Église catholique dans le rite romain, d'où son nom de Sequentia de Septem Doloribus Beatæ Virginis. Le Stabat Mater fut souvent mis en musique.
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De Mendelssohn ...
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Zoltán Kodály (1882-1967).
« Par les sacrements de l’initiation chrétienne, les hommes, délivrés de la puissance des ténèbres, morts avec le Christ, ensevelis avec lui et ressuscités avec lui, reçoivent l’Esprit d’adoption des fils et célèbrent avec tout le peuple de Dieu le mémorial de la mort et de la résurrection du Seigneur. »
Concile Vatican II, Décret sur l’activité missionnaire de l’Église, n°14.
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Sacrements
Sacrosanctum Concilium