"Beaucoup ignorent que, pendant un millénaire, l'Eglise catholique a reconnu des femmes diacres en son sein. Si le Nouveau Testament recèle peu de traces de leur présence, les témoignages par la suite abondent. Le lecteur trouvera ici un accès solide à leur histoire à travers des portraits de femmes très contrastés.
L'auteur tente enfin d'élucider les raisons de la disparition des femmes diacres. Tout un faisceau de décisions convergentes, caractéristiques de la Réforme grégorienne (XIe siècle), doivent être bien comprises pour évaluer les chances d'une restauration du diaconat féminin par l'Eglise d'aujourd'hui."
(Quatrième de couverture de Le diaconat féminin. Jadis et bientôt, de Bernard Pottier).
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Liturgie
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Problématiques actuelles de la pastorale liturgique
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Les femmes en liturgie
Comme en témoignent notamment ses correspondances, Liszt est un grand séducteur et connaît de nombreuses et célèbres femmes avant d'embrasser la carrière religieuse. Liszt se retire à Rome en 1861 et après avoir déjà rejoint le tiers-ordre franciscain6 en juin 1857, il recevra en 1865 la tonsure et les quatre ordres mineurs de l'Église catholique, lui donnant en France le qualificatif d'abbé.
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Musique
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De Mendelssohn ...
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Franz Liszt (1811-1886)
Didier Rimaud est le petit-fils d'Émile Rimaud, officier issu d'une famille de banquiers et le petit-neveu de Pierre-Marie Belmont, évêque de Clermont-Ferrand.
Bien que né à Carnac où se trouvait la maison de vacances de sa famille, Didier Rimaud a passé son enfance et ses études à Lyon, notamment au Lycée Saint-Marc. Sa famille nombreuse (8 enfants) était amatrice de musique et de chansons, et ses parents en composaient de temps en temps. Il devint jésuite en 1941, après un an de noviciat, puis a commencé à chanter dans une chorale des Petits chanteurs de Provence.
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Quelques grands noms après le Concile
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Didier Rimaud s.j. (1922-2003)
Avec son psautier français qui s'est répandu en de nombreuses paroisses, couvents et groupes de prière, le père Gélineau remporte le prix de l'Académie Charles-Cros en 1953.
Il étudie la théologie au théologat jésuite de Fourvière à Lyon, puis l'écriture musicale et l'orgue à l'École César-Franck de Paris. Il collabore au Centre de pastorale liturgique dès 1946 puis au CNPL et assume un rôle de conseiller liturgique lors du concile Vatican II. Gelineau a été membre du comité de traduction pour la Bible de Jérusalem.
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Quelques grands noms après le Concile
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Joseph Gelineau (1920-2008)