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Le sacrement de l'ordre

L’Ordre est le sacrement grâce auquel la mission confiée par le Christ à ses Apôtres continue à être exercée dans l’Église jusqu’à la fin des temps : il est donc le sacrement du ministère apostolique. Il comporte trois degrés : l’épiscopat, le presbytérat et le diaconat. (CEC 1536). Par le ministère ordonné, spécialement des évêques et des prêtres, la présence du Christ comme chef de l’Église, est rendue visible au milieu de la communauté des croyants (cf. LG 21). Selon la belle expression de S. Ignace d’Antioche, l’évêque est typos tou Patros, il est comme l’image vivante de Dieu le Père (Trall. 3, 1 ; cf. Magn. 6, 1). (CEC 1549).

Le sacrement de l'ordre dans LMD

Les articles parus dans La Maison-Dieu sur le sacrement de l'ordre du numéro 1 (1945) au numéro 232 (2002)

Le sacrement de pénitence/réconciliation dans LMD

Les articles parus dans La Maison-Dieu sur le sacrement de pénitence puis de réconciliation du numéro 1 (1945) au numéro 232 (2002)

Le Samedi saint dans LMD

Les articles parus sur le Samedi saint dans La Maison-Dieu du numéro 1 (1945) au numéro 232 (2002)

Le sanctoral

« Car nous fêtons aujourd’hui la cité du ciel, notre mère la Jérusalem d’en haut ; c’est là que nos frères les saints, déjà rassemblés, chantent sans fin ta louange. Et nous qui marchons vers elle par le chemin de la foi, nous hâtons le pas, joyeux de savoir dans la lumière ces enfants de notre Église que tu nous donnes en exemple.» Extrait de la Préface de la Toussaint.

Le sens et la théologie de la fête du Christ-Roi

Le sens et la théologie de la commémoration de tous les fidèles défunts

Quelles sont les origines la fête et quel en est le sens théologique ? Que veut dire la prière pour les défunts ?

Le site Vatican News

Le site d'information officiel du Saint Siège.

Le style carolingien. (L'essentiel)

Le temps chrétien, le temps liturgique, l'année liturgique, l'eschatologie

« [La Mère Église] déploie tout le mystère du Christ pendant le cycle de l’année, de l’incarnation et de la nativité jusqu’à l’Ascension, jusqu’au jour de la Pentecôte et jusqu’à l’attente de la bienheureuse espérance de l’avènement du Seigneur. » (SC 102).