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Stabat Mater

Poulenc composa l'œuvre à la suite de la mort de son ami l'artiste Christian Bérard. Il avait le projet d'écrire un Requiem pour Bérard, mais, en retournant à l'autel de la Vierge noire de Rocamadour, il choisit le texte médiéval du Stabat Mater. La musique de Poulenc, conçue pour soprano solo, chœur et orchestre, fut jouée pour la première fois le 13 juin 1951 au Festival de Strasbourg par le Choeur Saint-Guillaume, ensemble amateur réputé, et l’orchestre de Strasbourg sous la direction de Fritz Munch (le frère de Charles). Ce Stabat Mater reçut un bon accueil dans toute l'Europe, et il remporta le Prix du cercle des critiques de New York, comme étant la meilleure œuvre chorale de l'année.

Rattaché à Musique / / De Mendelssohn ... / Francis Poulenc (1899-1963).

Sept répons des Ténèbres

Dès 1960, Poulenc envisage de composer un Office des Ténèbres. La tâche est difficile ; il confie à Pierre Bernac : « On peut dire que je suis dans les ténèbres car, pour l'instant, j'ai l'impression d'entrer dans un tunnel. C'est toujours comme cela ; je ne m'en fais pas. Cette œuvre ma passionne mais me terrifie. » (Guide de la musique sacrée et chorale profane, de 1750 à nos jours, sous la direction de François-René Tranchefort, Fayard, 2020).

Rattaché à Musique / / De Mendelssohn ... / Francis Poulenc (1899-1963).

Francis Poulenc (1899-1963).

Francis Poulenc est un compositeur et pianiste français, né le 7 janvier 1899 à Paris où il est mort le 30 janvier 1963. Le critique Claude Rostand, pour souligner la coexistence chez Poulenc d’une grande gravité due à sa foi catholique avec l’insouciance et la fantaisie, a forgé la formule célèbre « moine ou voyou ». Ainsi, à propos de son Gloria, qui provoqua quelques remous à sa création, le compositeur lui-même déclara : « J’ai pensé, simplement, en l’écrivant à ces fresques de Benozzo Gozzoli où les anges tirent la langue, et aussi à ces graves bénédictins que j’ai vu un jour jouer au football ».

Rattaché à Musique / / Héritiers d'un « trésor d'une valeur inestimable » / De Mendelssohn ...

Oratorio Das Gesicht Jesajas (La vision d'Isaïe) Op. 41

« J’ai lu le prophète Isaïe et j’ai soudainement trouvé tracé le chemin de mes souhaits », explique le compositeur suisse à propos de son œuvre clé. Sa mise en œuvre musicale de la prophétie, qui annonce le tournant de la fin des temps vers le salut universel par le Messie, en fait l’un des oratorios les plus importants du 20ème siècle.

Rattaché à Musique / / De Mendelssohn ... / Willy Burkhard (1900-1955)

Kleiner Psalter Op. 82

Willy Burkhard laisse de la musique vocale : cantates (parmi lesquelles Die Sintflut, op. 97 — « le dernier un chef-d'œuvre de pleine maturité»), oratorios (dont Das Gesicht Jesajas op. 41), messes (op. 85). Les pages citées étant « trois œuvres présentant la spiritualité de Burkhard de la manière la plus puissante et la plus impressionnante ».

Rattaché à Musique / / De Mendelssohn ... / Willy Burkhard (1900-1955)

Messe Op. 85

Datée de 1951, elle est écrite pour soprano, basse, choeur mixte et orchestre de chambre (flûte, cor anglais prenant le hautbois, basson, cor, trompette, trombone, timbales, petite percussion et cordes).

Rattaché à Musique / / De Mendelssohn ... / Willy Burkhard (1900-1955)

Die Sintflut (Le déluge)

Die Sintflut (Le Déluge), Op. 97, est une cantate (Kantate) pour chœur non accompagné à huit voix de Willy Burkhard, sur un texte allemand basé sur l'histoire biblique de Noé et du déluge, composée en 1954/55. Burkhard a composé le texte à partir du Livre de la Genèse, 6:9-9:17, en allemand en 1954 et 1955 lorsqu'il vivait et enseignait à Zürich. Il était destiné au Berner Kammerchor. Ce fut son avant-dernière œuvre.  Elle fut publiée par Bärenreiter, d'abord en 1955 puis en 2003, sous-titrée "Kantate nach dem Bericht aus dem ersten Buch Mose / für gemischten Chor a cappella" (Cantate d'après le premier livre de Moïse / pour chœur mixte a cappella).

Rattaché à Musique / / De Mendelssohn ... / Willy Burkhard (1900-1955)

Willy Burkhard (1900-1955)

Willy Burkhard, né le 17 avril 1900 à Evilard, dans le canton de Berne et mort le 18 juin 1955 à Zurich, est un compositeur suisse. Il enseigne la composition et le piano à Berne en 1924, puis est nommé au conservatoire de cette ville en 1928. Il y dirige plusieurs chorales et petits orchestres. En 1933, pour des raisons de santé, il est contraint de faire des séjours à Montana et à Davos. Il s'installe à Zurich en 1942 et y enseigne la composition et la théorie musicale au conservatoire1 jusqu'à son décès. Sa musique de style néo-classique « est d'une structure polyphonique solide ; son langage linéaire austère est tempéré par un sens aigu du contrepoint modal »

Rattaché à Musique / / Héritiers d'un « trésor d'une valeur inestimable » / De Mendelssohn ...

Ernst Krenek (1900-1991)

Ernst Křenek est le fils d'un officier de l'Armée commune mais d'origine tchèque. De 1911 à 1919, il fit ses études dans le lycée viennois Klostergasse et commença parallèlement à l'âge de 16 ans à étudier la composition avec Franz Schreker à Vienne. En 1924, il épousa Anna Mahler, fille de Gustav Mahler, mais ce mariage aboutit à une séparation au bout d'un an. Sous l'influence de Stravinsky et du néo-classicisme français, le style de composition de Křenek changea pour devenir plus accessible et plus plaisant. Après le divorce avec sa première femme, Křenek épousa la célèbre actrice Berta Hermann et retourna à Vienne. Encore une fois, son style de composition se transforma, après une étude approfondie de la musique de Schubert, et commença sa phase de néo-romantisme.

Rattaché à Musique / / Héritiers d'un « trésor d'une valeur inestimable » / De Mendelssohn ...
  • Sacrosanctum Concilium 33

    Extrait de la Constitution Sacrosanctum Concilium

    Participation active des fidèles.

    SC 33. Bien que la liturgie soit principalement le culte de la divine majesté, elle comporte aussi une grande valeur pédagogique pour le peuple fidèle. Car, dans la liturgie, Dieu parle à son peuple ; le Christ annonce encore l'Évangiles. Et le peuple répond à Dieu par les chants et la prière.   
    Bien plus les prières, adressées à Dieu par le prêtre qui préside l'assemblée en la personne du Christ, sont prononcées au nom de tout le peuple saint et de tous les assistants. Enfin, le Christ ou l'Église ont choisi les signes visibles employés par la liturgie pour signifier les réalités divines invi­sibles.[...]